- Akayuki - la neige rouge
- Masculin
- 15 ans
- Kaminari no kuni
- Kirigakure no Sato
- C
- Genin
- Ninjutsu - Kenjutsu
- Hyoton (kekkai genkai) - Raiton (affinité primaire)
- EN RÉSUMÉ
- Aucune information dévoilée..
- DESCRIPTION
- Solitude– Iori est d’une nature plutôt calme à la limite de l’ignorance, c’est à dire une ignorance total des autres. Il ne montre aucun signe d’attachement, d’intérêt ou encore d’affection envers autrui . Pourquoi ? Une réponse simpliste : il n’y a que l’honneur de la famille qui compte et les actes que nous faisons pour prouver notre dévotion. Matricé loin du monde extérieur afin de n’être qu’une lame au service du clan. Iori fut depuis son enfance, comme une majorité de ses pairs, entraînait à la maîtrise de son pouvoir héréditaire. Ce personnage fut forgé des principes les plus purs et d’une foi inébranlable envers sa famille.
Famille – Depuis longtemps la branche Hyoketsu qui était restée dans leur pays d’origine on inculqué un véritable sentiment patriotique des membres envers leur clan. Il est vrai qu’Iori ne fait guère attention aux gens, mais si une personne de la famille est dans une situation problématique, en tant que membre dzq Hyoketsu il doit l’aider pour ne pas entacher le nom de la famille. De ce fait contrairement à de nombreux autres Hyoketsu, il ne fait pas réellement de distinction entre la famille principale ou la secondaire, ils sont tous des représentants du plus noble des clans et doivent par conséquent ne montrer aucun signe de faiblesse.
Kirigakure no Sato – Arrivé depuis peu au village, Iori trouve un certain attrait à ce lieu où de multiples cultures interagissent ensemble afin de créer un futur pour tous. Loin de la main mise total des fanatiques originel du clan, il semble qu’il puisse peu à peu changer et s’ouvrir vers de nouvelles émotions. A suivre...
- HISTOIRE
Prélude - J'ai vécu une majeure partie de ma vie loin du monde « moderne », reclus avec une partie de mon clan dans un lieu enneigé et sauvage. Nous vivions dans des montagnes tellement hautes que les nuages semblaient assez proches pour être saisis d'une main, où l'air était plus pur que nulle part ailleurs et dont la neige d'un blanc divin s'étendait à perte de vue. Je vivais dans un environnement où il fallait chasser soi-même pour se nourrir car, personne n'allait le faire à votre place. Le clan Hyoketsu fut à l'origine un clan axé sur le perfectionnement de son kekkai genkai le Hyoton, l'art de la glace. Alors qu'une grande partie du clan s'étaient unis avec le pays de l'eau afin de fonder un village militaire où ils pouvaient obtenir une place importante, une minorité était restée fidèle aux doctrines du clan. Continuant sans cesse à s'entraîner et améliorant leurs compétences au combat. Je me remémore encore aujourd'hui cette enfance qui fut la mienne. Je fus élevé par mon père, un homme juste et fidèle à ses principes. Ma mère mourut à ma naissance, les difficultés d'accouchement étaient monnaie courante et ce n'était pas rare que la mère périssait à cause d'un système immunitaire trop faible. Mais je n'ai jamais ressentie le manque d'un visage maternel. Jamais.
Lors de notre plus jeune âge, les adultes séparaient ceux qui étaient bénis par le Hyoton et les autres. Si le destin vous étiez favorable, une place au sein du clan était attribué et une vie de consécration à la maîtrise du kekkai genkai était tracée. Pour les autres, deux solutions étaient possibles : l'exil ou la mort. Que dieu soit bénis, je fus un héritier du hyoton et fut bercé par l'apprentissage du ninjutsu de notre pouvoir héréditaire durant une dizaine d'années. Puis le jour de mon 14 ème anniversaire un évènement important se produisit. Notre patriarche depuis de nombreuses générations périe, laissant les reines du clan à un nouveau leader. Cette personne voulait suivre certes les enseignements de toujours mais, il avait décidé de renouer les liens avec l'autre partie du clan : les exilés de Kirigakure no Sato.
Ils étaient considérés comme des traîtres à notre tradition et il était presque tabou d'en parler. Mais ce nouveau chef de famille considérait qu'il fallait évoluer notre approche du monde et que si nous restions reclus dans nos montagnes, tout le savoir accumulé durant des décennies pouvait disparaître. Cette disparition n'était-elle pas le plus grand des affronts en fin de compte ? L'art que nous avions mis des années à perfectionner ne pouvait pas s'effacer de l'histoire. Donc une décision fut prise. Peu à peu, nous renoûames par le biais de différents émissaires le lien avec la branche de la famille située à Kiri et un accord fut établis. Les ainés du clan avaient envoyés quelques jeunes talentueux agrandir les rangs de la branche exilé comme preuve de bonne foi. Je fus l'un d'eux.