• SURNOM : Oni no Byakugan – L’ogre au Byakugan
• SEXE : Féminin
• ÂGE : 25 ans
• PAYS D'ORIGINE : Hi no Kuni
• AFFILIATION : Kiri
• RANG : A
• GRADE : Jonin
• DOMAINES : Dojutsu - Taijutsu – Sensorialité – Fuinjutsu
• COMPÉTENCES : Byakugan

EN RÉSUMÉ

Née d’un père Hyuga et d’une mère Uzumaki, Emiko héritera du Byakugan de son père et n'aura pas eu la chance d'avoir de sa mère la belle couleur rousse de sa chevelure.

DESCRIPTION

Obstinée : Emiko n’a qu’un seul but en tête, et ce qu’elle entreprend est d’une manière ou d’une autre, de manière proche ou lointaine liée à ce qu’elle s’est fixé comme but dans la vie, se venger du clan Aburame et ériger à nouveau Konoha parmi les grandes citées de ce monde.

Impatiente : Emiko n’aime pas attendre, elle n’aime pas que les choses traînent en longueur quand elles pourraient être accomplies de manière rapide et efficace. Si certains pourraient voir en son impatience une envie de bâcler les choses ou un manque d’investissement, la réalité est toute autre. Agir avec rapidité et efficacité lui permet, selon elle, d’accroître ses possibilités d’actions et d’envisager bien plus de projets que ses pairs.

Autoritaire : Le travail d’équipe n’est pas nécessairement pour elle, du moins tant qu’elle n’y trouve pas d’intérêt ou que les personnes avec qui elles ne sont pas nécessaires à ses plans. Pour autant, elle démontre certaines qualités de leader devant prendre les décisions grave et qui s’assure que les choses soient faites, et surtout bien faites.

Méfiante : Sans être paranoïaque, Emiko n’accorde que rarement sa confiance et reste méfiante face à toutes les situations et personnes qui se présenteraient. La confiance est rare et elle s’accorde avec parcimonie dans de rares occasions.

Disciplinée : La Hyuga malgré ses ambitions et projets reste pour l’heure une Kirijin qui s’attache à promouvoir son village et surtout à assumer son rôle quel qu’en soit le prix.

HISTOIRE

Par le passé, les ancêtres du clan Hyuga se sont dispersé dans le pays du Feu, certains se regroupant pour former une communauté plus ou moins autonome luttant pour leur survie. Au fil du temps, les groupes se formant, luttant les uns contre les autres pour la main mise de ce qu’il restait à sauver du pays, le peuple Hijin se concentra d’avantage à ses luttes intestines qu’à retrouver un semblant de pouvoir. Seulement, tous ne pensaient pas ainsi. Amarato Hyuga, père d’Emiko, était un visionnaire, un homme qui voyait au-delà du présent, au-delà des luttes et voyait en grand l’avenir radieux qui se profilait. Pour autant, il semblerait que ce fût bien le seul. Luttant pendant des années, il n’eu de cesse de tenter d'asseoir son projet jusqu’à ce que lassé par ses frasques et utopies, son clan le déclara persona non grata et l’exila.

Si la rancœur avait pu s’attacher à lui, il n’en fut rien. Accompagné de sa femme enceinte, Amarato erra pendant des années, luttant pour sa survie. Ses premières années d’errance le guidèrent jusqu’au village caché des tourbillons qui l’accueilli. C’est entre ces murs que notre homme tomba éperdument amoureux d’une jeune femme, Imiko Uzumaki. Si le clan de la jeune femme ne voyait pas cette relation d’un bon œil, la naissance d’un enfant faisait espérer au futur père de meilleurs moments pour la famille. Malheureusement, il n’en fut rien et la jeune femme fragilisée par une maladie, malgré la robustesse légendaire des Uzumaki succomba en donnant naissance à sa fille qui n’hérita, par chance, pas de la malédiction de sa mère. Ainsi, après plusieurs années de bons et loyaux services au sein du village, par peur d’en être chassé, Amarato fuit à nouveau, emmenant sa fille aux yeux blanc avec lui.

Son errance l’amena jusqu’aux portes de Kiri Gakure no Sato. Si son nom était synonyme d’ennemi, sa proposition et la possibilité d’offrir au village de la Brume un Byakugan lui ouvrit les portes de la cité.

Kirijin d’adoption, la petite Emiko ne connus que cette cité. Pour autant, son père l’éduqua avec toute l’histoire de son pays d’origine, de son clan et malgré tout, de celui de sa mère. Durant ses premières années, une fois la petite en mesure de marcher et de baragouiner ses premiers mots, son père initia sa fille aux rudiments de l’art ninja. Années après années, Amarato enseigna les secrets du Byakugan et bien plus à sa petite fille. Outre les arts secrets du clan Hyuga, le père de famille transmis également à sa fille sa volonté d’un renouveau pour Konoha. Malheureusement pour le père, entre le manque d’un amour maternel, une éducation paternelle rude, et une éducation académique kirijin impartial conditionna la mentalité quelque peu extrémiste de la jeune fille.

Chunin à l’âge de douze ans, elle obtint son grade jonin à seize et devint rapidement une membre estimé bien que quelque peu particulière du village. Pour autant, il semblait impossible de faire autrement avec la jeune fille, son Byakugan étant une ressource indispensable. Ce sont d’ailleurs ces yeux qui furent au cœur du surnom qu’elle possède aujourd’hui.

Âgée de vingt ans, elle était en mission avec plusieurs autres unités dont l’une guidée par son propre père. Pris en embuscade par des rebelles kumojins, les combats se sont avérés d’une rudesse comme jamais la jeune femme en avait connu à tel point que les morts se comptaient par dizaine des deux côtés. Et justement parmi les morts kirijins gisait un corps paternel, un père dépouillé de ses yeux. Alors grièvement blessée, le bas de la mâchoire presque arrachée, la jeune femme jura de mener à bien les utopies de son père quoi qu’il en coûte, et de retrouver par la même occasion, le regard blanc du défunt.

Désormais affublé d’une mâchoire mécanique, œuvre d’art d’un orfèvre de génie, Emiko sombra dans ses pires instincts, héritant dès lors de son surnom et bien déterminée à mener à bien les ambitions de son défunt père. Qui sait aujourd’hui quelle route sera empruntée par la jeune femme.