- Kogano no me Hakuryū
- M
- 16
- Kaze no Han
- Suna
- RANG D
- Gennin
- Ninjutsu - Taijutsu
- Senninka
- EN RÉSUMÉ
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- Né à Suna, Shun ( comme tant d'autres) est un descendant des premiers déportés d'Hakuryû à Suna.
- Il doit voir son mentor au moins une fois par jour pour ne pas faire de crise.
- Il n'a eu qu'une seule crise, elle a été facilement arrêté, mais cela a eu des répercussion sur sa famille
- Sa forme Senninka dîtes " Albinos " lui a valu de nombreuses moqueries même de la part de ceux de son clan.
-Son rêve : Trouver le remède contre la malédiction des Senninka
- Son nindo : Seul on va plus vite... A plusieurs on va plus loin
- DESCRIPTION
- Shun n’a pas une personnalité hors-norme mais il possède des qualités et des manières de faire qui lui sont propres et qui font de lui quelqu’un d’unique.
D'un calme à toute épreuves, il ne se met jamais en colère, du moins, tant que personne ne le pousse à bout ce qui, dans ce monde ou la provocation est très présente, c’est une énorme qualité. Par contre...évitez de lui parler de la couleur particulière de sa transformation... c'est juste un conseil d'ami. Le jeune ado qu’il est, n’a pas la langue dans sa poche et ne se cache pas pour dire les choses qui doivent être dites, mais ne vous inquiétez pas, Shun n’ouvre pas sa bouche si cela compromet une mission ou si cela se retourne contre lui.
Cette franchise ne lui apporte aucune difficulté à vivre en communauté mais il est réalité quelqu’un d’assez fermé, qui n’accorde sa confiance qu'à peu de personnes : l'Hakuryu sait que le monde actuel peut transformer un ami en ennemi et inversement. De ce fait, comme beaucoup de membres du clan Hakuryu, Shun a besoin d'être en confiance totale avec ses partenaire pour donner le maximum de ses capacités. Dépendre émotionnellement de son mentor a développé une sorte de fragilité vis à vis des autres et Shun aura des difficultés à agir seul.
Il a une grande confiance en ses capacités intellectuelles, ce qui rajoute de l'orgueil et de l'arrogance à sa personnalité et l'un de ses plus grand défaut est d'être têtu comme une mule même si il n'est totalement insouciant. Rien n'est vraiment gravissime pour notre protagoniste et il pense que chaque problème possède une solution et cherche toujours la meilleure manière d’affronter un souci. Malgré sa haute estime pour lui-même, le sunajin ne ressent pas toujours le besoin de prouver sa force et sa détermination même envers ses plus grands rivaux et d’ailleurs, le rouquin peut aisément montrer de la réticence devant certains challenges.
Sa progression se base sur un entraînement acharné mais surtout sur la connaissance, démarche naturelle qu'il exploite pour le et qui le rend redoutable pour les adversaires les moins réfléchis.
- HISTOIRE
- N'ayant pas envie de raconter son histoire, notre équipe a décidé d'interviewer des personnes ayant cotôyer Shun...
Une voisine de Shun
« Shun ? Si je le connais ? Bien sûr ! C’est mon voisin il est trop kawaï ! On a le même âge c’est-à-dire 16 ans et on a été à l’académie ensemble et c’était un sacré bon élève ! Si je me souviens bien il est né un 3 Septembre et ses parents sont aussi des shinobis. Son père n'est qu'un simple Chuunin et sa mère tient un rôle mineur au sein du Kohoshien Iryō Tokushu. »
Une femme assez âgée
« J’ai vécu chez lui les 5 premières années de sa vie, ses parents m’avaient recueilli après la mort de mon dix-huitième mari. Sa famille est très généreuse et vivante. J’ai été comme une grande tante pour lui et lui ait donné tout mon amour car j’ai tout de suite vu qu’il n’était pas un enfant comme les autres.
Matsuo et Saori, eux aussi lui ont donné tout l’amour possible que des parents peuvent donner à leur enfant et pas seulement quand je vivais encore chez eux. Matsuo arrivait facilement à jongler entre travail et famille sans que l’un n’entrave l’autre. Saori elle était Jônin Spécialisé et avait une force mentale lui permettant de limiter les crises caractéristiques aux Hakuryu. C’est d’ailleurs de cette dernière que Shun tient sa chevelure rousse.
Il n’était pas très expansif, ne pleurait jamais et ne parlait que pour répondre ou quand cela était nécessaire. En connaissant ses parents j’avais du mal à me dire que c’était leur enfant. Mon petit Shun ne jouait avec personne au parc pour enfants, se contentant d’observer. »
Un professeur à l’académie :
« Comment était le petit Shun ?! Il est arrivé à l’académie il y’a 10 ans environ il avait 6 ans. Je m’en rappel très bien car ce garçon m’a marqué. Il avait ce petit truc déjà à l’époque, c’est encore plus flagrant aujourd’hui, mais dégager un tel calme quand on est un Hakuryu c’est fort. Il n’avait aucun ami proche, Shun n’était pas détesté, mais on ne l’aimait pas non plus c’est le genre de personne qu’on a du mal à cerner.
Ses parents n’étant pas de brillants shinobis, il était donc assez surprenant de le voir être aussi bon en cours. Il est passé Genin à 12 ans comme a peu prêt tout le monde et a prit tout le monde à contre-pied en arrêtant de s’entraîner pendant 3 ou 4 ans pour bouquiner et se cultiver. Il n'a jamais vraiment révélé pourquoi il ne souhaitait plus progresser dans la hiérarchie du village. Certains disent que c'est que depuis que sa Majesté l'Empereur Kōgyoku a prit le pouvoir et imposée une politique moins tournée vers le militaire qu'il aurait prit cette décision. D'autres disent que c'est simplement parce que tout les Hakuryu sont cinglés...»
Source voulant rester anonyme
« J’ai beaucoup à dire sur lui. La rumeur dit que pas longtemps après avoir obtenu son diplôme, le mentor de Shun a passé plus d'un jour sans voir sans mentor et qu'il a fait sa première et seule crise d'Hakaryu et qu'il aurait blessé un jeune enfant de son propre clan. Apparemment cela a causé du tord à ses parents car ils avaient été trop négligeant ce jour là pensant que le jeune rouquin pourrait se passer de son Jikai plus d'une journée. Ayant peur de la puissance du jeune garçon, Shun fut interdit d'entraînement et de se présenter à l'examen Chuunin jusqu'à son seizième anniversaire et ses parents devaient renoncer à toute promotion durant les 15 prochaines années.
Comment je le sais ? Disons que j’ai les yeux un peu partout…»