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Dans un monde où les nouvelles générations ont connu les affres de la guerre par le biais d'écrits ou de contes oraux, ces dernières sont soudainement propulsées dans des destins pour eux inimaginables à l'instar de leurs aînés d'autrefois. Incarnez y votre shinobi et osez répondre présent à l'effort de guerre de votre nation. Que vous soyez un militaire, un déserteur, un membre d'une quelconque organisation religieuse ou non, défendez avec corps et âme votre nindõ puisque, finalement, personne ne peut se soustraire à son devoir de ninja.Lire la suite

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Reijin Atotori
Jōnin de Suna
Reijin Atotori
Messages : 39

Fiche du Shinobi
Rang: A☆
Équipement: Des provisions, quelques kunaïs, deux shurikens fuma, du fil de fer, quelques bombes fumigènes, des rouleaux vierges.
Attribut(s):

Reijin Atotori

"Le problème d'être ninja, c'est d'arrêter d'être ninja"

  • Teisei (Murmure)
  • Féminin
  • 21 ans
  • Originaire d'Otogakure no Sato
  • Affiliée à Sunagakure no Sato
  • Rang A
  • Jonin
  • Ninjutsu, Genjutsu, Shurikenjutsu
  • Onkyoton, Keitai Henka
EN RÉSUMÉ
- Si son vrai nom est Atotori, héritière du clan Reijin, elle se présente sous le pseudonyme de Teisei. Elle a en effet fuit son pays après la décimation presque totale de son village, trouvant refuge à Suna. La jeune femme ne divulgue donc jamais son vrai nom, par soucis de sécurité.

- Malgré son grade de Jonin, sa formation n'a jamais été portée à son terme, sa Sensei ayant été tuée. Son poste provient du zèle dont elle a fait preuve durant ses deux années à Suna.

DESCRIPTION
Instruite
Teisei a grandi dans une maison de geisha, aussi a-t-elle reçu une éducation relativement complète, qu’elle soit théorique ou pratique. De la danse à la politique en passant par les cérémonies de thé, la jeune femme en sait beaucoup et est capable de tenir des propos pertinents en présence de n’importe quel publique, lui permettant de s’infiltrer n’importe où. Au-delà de son rôle de Kunoichi, Teisei aime simplement savoir, apprendre et faire connaître la vérité ; d’où un côté un peu « bonne élève », lorsqu’elle ne prend la parole que pour corriger un propos, d’un air que d’aucun qualifierait d’hautains, mais qui relève seulement d’un pragmatisme absolu.

Discrète

La kunoishi n’est en effet pas la plus loquace. Engoncées dans son haut col, ses lèvres ne se délient que très rarement, s’il n’est pas question de chanter. Discrète ne veut cependant pas dire timide, Teisei n’est pas du genre à cacher ce qui doit être dit et n’arbore jamais d’air gênée ; mystérieuse serait plus approprié. La jeune femme n’aime simplement pas se perdre en dialogue stériles.
Réfléchie
Ces deux derniers traits font de notre intéressée quelqu’un d’extrêmement posé, qui n’agit jamais sur un coup de tête. Ses moindres actions sont planifiées et pensées, garantissant au maximum le succès de ses missions. Se renseigner, observer le terrain ; Teisei ne néglige aucun détail, qui pourrait faire la différence si la situation venait à tourner en sa défaveur. Il est bon de se battre avec courage et détermination, mais encore mieux de se battre avec de la connaissance.
Zêlée
Mais si elle déploie tant de précautions, c’est parce qu’à ses yeux de ninja, rien ne compte plus que sa mission. Toujours faire plus, mieux, un travail parfait, sans bavures ; un perfectionnisme excessif. Un ordre est un ordre, peu importe ce qu’il explicite ; Teisei n’est pas à la tête du village après tout, qui est-elle pour juger les politiques de l’Ombre ? Elle exécute, sans poser de question, sans état d’âme : un bon shinobi.
Fataliste
Ce professionnalisme outrancier s’accompagne naturellement d’un réalisme froid. Ce qui est, est, ce qui était n’est plus ; c’est simple. Elle a compris que sa vie, son rôle, elle ne les a pas choisis, tout n’est que Destin. Que meurent ou vivent ceux qui le doivent, elle y compris. Aussi ne sert-il a rien de trop s’attacher aux gens : ni famille, ni véritables amis, surtout pas de partenaire. Attention tout de même, si Teisei ne s’attache pas outre mesure aux gens qu’elle côtoie, elle n’est ni antipathique, ni stupide : travailler en équipe est le seul moyen de survivre, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle offre ses services à Sunagakure no Sato. La compagnie qu’elle a trouvée au village lui plait, sans que le fait de la perdre ne l’abatte outre mesure.
HISTOIRE
« Mes bien chères mères.

Cette lettre que je vous laisse est sans doute une erreur, qui me coûtera cher, peut-être, qui vous blessera assurément, mais qui sera, je l’espère, la marque de toute les responsabilités que je n’ai jamais prises. Pour cause, vous ne savez pas pourquoi je vous écris, vous ne savez pas même pourquoi j’y suis contrainte ; pourquoi je ne suis pas là à vous parler autour du repas chaud qui m’attend, pourquoi, pour la première fois depuis que vous m’avez recueillie, vous ne me verrez pas rentrer et pourquoi, malheureusement, cela n’arrivera plus jamais…
Je ne vous blâme pas pour toutes les choses que vous ignorez, vous avez été la meilleure famille dont une petite fille peut rêver ; vous m’avez nourrie, logée, instruite, vous m’avez écoutée et aimée comme l’aurait fait n’importe quels parents. Vous avez imprégné ma mémoire des plus beaux souvenirs, que j’ai chéris chaque jour et qui m’ont permis de tenir jusqu’à aujourd’hui. Aussi, il me semble vous devoirs ces réponses, car malgré tout ce que vous avez fait pour moi, il y a quelque chose que vous n’avez jamais pu, que vous n’auriez jamais pu m’apporter : qui je suis, d’où je viens et si la Hatsukoe que vous avez connue et élevée vous écrivait à cet instant, peut-être auriez-vous retrouvé des tâches de larmes sur le papier, surement même, mais trop de choses ont changées.

Trop de choses ne sont plus, depuis que vous m’avez nommée ainsi il y a 19 ans, après m’avoir trouvée pleurant, mon petit corps, tout juste né, à peine couvert et posé sur le pas de votre porte au matin de la Nouvelle année. « Jamais un nouveau-né n’eut crié de si belle manière » m’aviez-vous dit, lorsque je fus en âge de comprendre l’origine de mon nom ; « pas assez pour ceux qui m’avait abandonnée » avait-je pensé. On m’avait alors expliqué que mes parents devaient être des gens biens, venus d’un grand pays appelé Hi no Kuni, où tout le monde était tombé malade, et que pour éviter que leur magnifique petite fille tombe malade elle aussi, ils avaient préféré passer la frontière de Ta no Kuni, et la laisser aux bons soins d’une maison de geisha dans un petit village près des rizières, où ils étaient sûrs qu’elle recevrait une bonne éducation.
Peut-être était-ce vrai ; j’avais une famille des plus parfaite à présent : des mamans, pleins de mamans, vous, qui m’apprirent tout ce qu’une bonne geisha devait savoir. Lire, écrire, bien parler, bien s’habiller et se comporter, travailler, cuisiner, toutes sortes de choses sur de grands sujets importants, danser et chanter… Le chant, la musique… De toutes les choses qu’il m’ait été données d’apprendre à vos côtés, aucune ne nécessite que je vous remercie autant que la chanson. D’aussi loin que je me souvienne, je chantais. Toujours, partout ; trop parfois. Mais j’étais si heureuse, et vous si fières, vous disiez sans cesse n’avoir jamais entendu quelqu’un chanter de la sorte, qu’un jour le Monde entier voudrait entendre ma voix ; qu’elle avait le pouvoir d’apporter la paix…
C’est avec ce rêve en tête que vous avez dû me faire chanter ce jour-là, devant ce groupe de clients prestigieux. Du haut de mes 7 ans, je n’avais pas compris alors les enjeux de ce moment, n’existait pour moi que la joie, l’admiration ; le bonheur inondait la pièce et apaisait les visages mûrs de hommes en face de moi.
Vous aviez réussi… Je chantais, pour les plus grands, dans les palaces les plus cossus. A 10 ans je me tenais fièrement devant les Shogun, puis le Daimyo et finalement des bels gens venus de tous les pays. A mes yeux d’enfant, rien d’autre ne comptait que leurs sourires ; leur nom, leur pouvoir, rien n’avait d’importance tant que je pouvais les rendre heureux, peu importe si moi je l’étais réellement. Malgré tout le bien que vous pensiez m’apporter, j’aurai parfois aimé n’être qu’une petite fille, jouer dans les rizières avec les autres, avoir une compagnie qui ne soit ni vos visages blancs, ni leurs kimonos excentriques.
Puis était arrivée Oten. Je me rappel très bien de notre rencontre, de son air aussi faux que sa coiffure, de ses manières d’aristocrates gâtée et du dédain qu’elle avait exprimé pour vous, pour moi. Je me rappelais avoir vu son père ; avoir chanté pour lui « si bien », avait-il dit, qu’il voulait que sa fille apprenne à faire de même, grâce à votre enseignement. Elle ne m’avait pas adressé la parole ce jour-là, ni les suivants ; sa bouche avait laissé sortir aussi peu de mots qu’entrer de repas, restant seule durant des semaines et des semaines, me laissant le loisir de l’épier. Je l’avais trouvée si belle Oten ; son visage fin, ses longs cheveux bruns et ses yeux noisettes en amande, sa peau blanche, ses lèvres délicates et ses formes encore timides d’adolescente de 14 ans. J’espérais pouvoir devenir comme elle, je pensais qu’une personne aussi belle devait avoir un vie d’une beauté toute pareille.
Je l’ai surprise à pleurer pourtant, souvent ; aussi une fois trouvais-je le courage d’aller lui parler, entrant dans sa chambre la boule au ventre, pensant ressortir tout aussi tôt. Au lieu de cela elle me parla, longtemps, beaucoup, de sa vie puis d’une histoire. Elle me raconta cette ancienne légende ; un village caché nommé Oto, des guerriers ancestraux se mouvant comme des ombres et protégeant le pays et ses habitants, disparus il y a longtemps durant d’innombrables conflits. C’était son rêve m’avait-elle dit, qu’elle était sûre que ce village existait et qu’elle aurait tout donné pour le trouver. « Etre une geisha, c’est accepter la servitude » pensait-elle, « je veux devenir une belle et forte Kunoichi, je veux être libre ». Puis elle m’avait prise dans ses bras ; je l’avais trouvée belle Oten.

Après cette nuit-là, nous avions été comme des sœurs ; ma vie était parfaite. Mais vous savez déjà tout ceci et pour vous l’histoire s’arrête ici ; nous vécûmes heureuses en chantant, jusqu’à ce que vous lisiez cette lettre, sans comprendre. Car tout le reste relève du secret, mon secret…

J’avais 12 ans. C’était un soir, j’avais dû chanter pour un homme, étrange, peu rassurant. Encapuchonné, il n’avait pas dit un mot, il n’avait pas souris non plus. J’avais peur et ma voix tressaillait, il m’avait sommée d’arrêter ; sa voix n’était pas celle d’un homme. Elle avait enlevé sa capuche et s’était approchée, la Lune avait illuminé son bandeau métallique, me laissant admirer la note de musique qui y était gravée. Elle m’avait dit alors me connaître mieux que quiconque, qu’elle avait connu mes parents, qu’elle était la seule à pouvoir me dire d’où je venais et que si je voulais savoir qui j’étais, je devrais la retrouver le lendemain. Je la cru.
La nuit suivante j’étais partie. « Ton nom est Reijin Atotori » m’avait-elle dit « Tu es la fille de Takara Reijin et de Fûma Shusui, jonins de Otogakure no sato. Tu es la dernière représentante de ton clan et l’héritière d’une forme très particulière de l’Onkyoton, qui est une technique de combat utilisée par les shinobis et qui se basent sur une énergie naturelle appelée chakra. Les Reijin sont l’un des clans fondateurs du village caché du son et servent le Daimyo depuis des siècles, maintenant que ta mère n’est plus, c’est à toi que revient la tâche de mener le clan au sein des forces de Ta no kuni. Personne ne peut chanter comme un Reijin, personne ne peut faire se mouvoir le chakra de telle façon. Le Keitai Henka développé par ta famille s’est transmis de mère en fille durant des générations, au prix d’un entraînement long et éprouvant… Mais tu sembles posséder un don incroyable pour l’art de tes ancêtres ». J’avais demandé qui elle était, comment elle savait tout cela ; elle m’avait simplement répondu que son nom était Jijo, et que si j’acceptais de la suivre, elle m’apprendrait à devenir une Kunoichi.  
Comme moi à l’époque, vous n’avez rien compris. Vous avez écouté sans prêter attention, arrêtant votre esprit sur les quelques mots qui vous ont semblé familiers : « Oto », « Kunoichi », « parents ». Le village existait, mes parents étaient shinobis et je devais prendre leur suite. Je ne pouvais pas laisser Oten passer à côté de son rêve ; j’acceptais donc, à condition qu’elle aussi suive la formation. Jijo accepta à contrecœur.
Commencèrent ainsi nos entrainements nocturnes pour devenir des Kunoichis. Durant 7 ans nous souffrîmes ensemble, vous retrouvant au matin, exténuées. Les entraînements de Jijo me firent exceller, je maîtrisais mon le Keitai Henka « avec un facilité incroyable » me répétait-elle, la voir si enthousiaste derrière son masque de sévérité me rappelait vos sourires lorsque je chantais étant petite. Elle m’apprit tout ce qu’une kunoichi devait savoir : le combat, la dissimulation, la stratégie, la patience, l’opportunisme, la géopolitique et bien sûr la chanson. Oten, elle, se révéla très médiocre dans la maîtrise des arts ninja, mais elle était heureuse…
Nous partions régulièrement en mission, prétextant de longs voyages pour des clients éloignés afin de nous soustraire à votre garde. Nous nous entions beaucoup rapprochées, en grandissant j’avais développé un amour profond, elle n’était plus juste une grande sœur ; je la désirais. Je n’ai pourtant pas réussi à sauver sa vie, ce piège avait été plus rapide que moi. L’accident que l’on vous a rapporté n’étais qu’une couverture, elle était morte un kunaï en travers de la gorge, agonisant dans mes bras.  « Un shinobi est une arme avant d’être un humain » avait dit Jijo. Nous l’avions laissée là… J’avais perdu celle que j’aimais mais je n’étais pas triste. Je me surpris à sentir en moi un cœur froid, stoïque, effectuant son devoir sans plus de considérations. J’avais donc joué mon rôle assidument dans la guerre qui avait suivie, contre un groupe de mercenaire engagé par un pays à l’Est de Ta no Kuni, ayant des vues sur nos terres. Mais les conflits incessants avaient grandement affaibli Otogakure…
Ce soir, Jijo est morte, elle s’est sacrifiée pour me permettre de m’échapper. Je n’avais pas compris avant de lire le rouleau qu’elle m’avait laissée : « Fuis et trouve un village pour te protéger. Tu es une arme redoutable Atotori, choisi bien pour qui tu te bats. Reijin Jijo. »

Enfin je sais. Depuis ma naissance, ma vie a été tracée, peu importe que je sois heureuse ou non, là n’est pas la question. Je suis née pour servir ; une geisha d’abord, une kunoichi aujourd’hui. Oten avait tort : être un ninja c’est aussi accepter la servitude et c‘est précisément pour cela que mes parents m’avaient abandonnée. Malheureusement, notre Destin nous rattrape toujours. Je suis et resterait une arme, c’est ainsi. Aussi ne puis-je rester auprès de vous, pour votre sécurité et la mienne.

Adieu Mères.

Celle qui fut un jour votre Hatsukoe »



Cette lettre, elle l’avait lue et relue, tous les jours depuis deux années maintenant. « Elles doivent s’inquiéter » elle pensa, avant de ranger le vieux rouleau dans une de ses poches et de repartir affronter le vent de l’extérieur.

  • Pseudo du Joueur : Ghujuklo
  • Comment avez-vous connu le forum ? J'avais tenté l'aventure Shinobi no Densetsu avant... Enfin vous savez...
  • Source de l'avatar : Pinterest
  • Un dernier mot ? Bonne lecture ^^
halloween


Dernière édition par Ghujuklo le 04.03.20 23:40, édité 1 fois
Hyōketsu Yosōgai
Yondaime Mizukage
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Salut, étant donné que tu es B-rank, il faudrait que tu développes le Keita Henka en RP. Est-ce que c'est bon pour toi ?
Reijin Atotori
Jōnin de Suna
Reijin Atotori
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Ah... Je comptais jouer une maîtrise relative de la chose. Elle aurait appris à manifester ses techniques sans pour autant les maîtriser toutes, ce qui serait venu avec le rp. Si je peux vraiment pas y avoir accès en B rank, autant que je passe en A et que j'oubliele côté Genin et formation pas terminée
Hyōketsu Yosōgai
Yondaime Mizukage
Hyōketsu Yosōgai
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Yep je comprends, je te conseillerais donc de commencer directement A-rank si tu souhaites avoir la compétence directement.
Reijin Atotori
Jōnin de Suna
Reijin Atotori
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Je fais ça. Wink
Hyōketsu Yosōgai
Yondaime Mizukage
Hyōketsu Yosōgai
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On est tout bon du coup, je peux procéder à ta validation et te filer tes accès.

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