- Byakurō (白狼, litt. Loup Blanc)
- Masculin
- 17 ans
- Hi no Han
- Mercenaire
- C✭
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- Taijutsu - Sensorialité/Dōjutsu - Ninjutsu
- Byakugan
- EN RÉSUMÉ
- Kyozen est, bien qu’il refuse de l’admettre, un idéaliste dans l’âme. Depuis sa rencontre avec son maître, il partage son rêve improbable pour une seule personne de réunifier Hi no Han, ne serait-ce que pour y rétablir un semblant d’ordre et empêcher à d’autres de suivre des chemins aussi sombres que ceux des personnes provenant de cette contrée déchirée par la guerre.
°« Hashira » n’est pas le véritable nom de Kyozen. Il s’agit en réalité du prénom de son maître qu’il a décidé d’adopter lorsqu’il fut exilé du clan Hyūga.
°Il lui arrive de temps en temps d’arborer un énorme sourire lorsqu’il se sent en difficulté.
° Kyozen déteste au plus au moins la faiblesse que ce soit la sienne ou celle des personnes autour de lui.
°Il possède le tatouage si particulier de la branche secondaire des Hyūga sur le dos, tatouage qu'il abhorre autant que ce clan qui l'a renié et leurs pupilles dont il a hérité.
- DESCRIPTION
- « Un homme qui vit sans ambitions n’est qu’un homme agonisant tout au long de sa vie ». Ces mots répétés maintes fois par son maître sont restés gravés dans la mémoire de Kyozen. Ainsi, le jeune homme est guidé par un rêve et il compte bien y parvenir malgré les obstacles qu’il s’attend bien à croiser sur sa route.
Mais il n’est pas dupe. Il sait que cette tâche ne peut être réalisée que par une personne assez puissante pour en assumer les conséquences et il entend bien le devenir.
Kyozen est aussi un véritable passionné de combats. Pour lui, il s’agit du seul vrai divertissement qu’il arrive à apprécier. Ce qui le pousse à souvent provoquer son entourage dans le but de se dégourdir les jambes et donne souvent l’impression aux autres qu’il est plutôt agressif.
Cependant, malgré son amour pour la confrontation n’en est pas pour autant impulsif. Il sait qu’il existe des personnes le surpassant à travers le monde. Ainsi, il ne se lance jamais la tête baissée dans des situations inconnues ou où il se sait clairement désavantagé et préfère d’abord observer avant d’agir.
Enfin, hormis le devoir de réaliser son rêve, Kyozen se considère comme un électron libre et agit en tant que tel. Il suit sa propre volonté et ne se pli seulement qu’aux ordres de ceux ayant gagné son respect.
- HISTOIRE
- Né d’une famille servant et descendant des Hyūga, Kyozen n’a pas connu ses parents disparus lors d’un des nombreux conflits du Pays du Feu.
Dès son plus jeune âge, il put assister en secret à la formation des jeunes membres du clan au Jūken. Tous les jours, il se cachait dans un buisson en les épiant et reproduisait les sessions seul le soir. Cependant cette petite routine finit par être révélée au grand jour.
En effet, une douce soirée de printemps, alors qu’il s’entraînait seul comme à son habitude, un serviteur du clan le découvrit en pleine utilisation de ce jutsu Hiden. Kyozen, surpris par la présence de cet intrus activa pour la première fois depuis ses huit ans d’existence le Byakugan, chose extrêmement rare pour une personne aussi éloignée des Hyūga. C’est alors qu’intervint le formateur des jeunes Hyūga, un membre de la Soke, Hashira Hyūga, qui avait remarqué les actes du jeune garçon depuis très longtemps et décida d’en faire son disciple, convaincu de son potentiel.
Au fil du temps, le maître finit par influencer l’élève. Bien plus qu’influencer, Hashira avait donné une raison de vivre à Kyozen un but, un idéal qu’il se devait d’atteindre : une nation du Feu reconstruite, unifiée mais surtout en paix.
Ils passèrent six ans ensemble. Six ans où Kyozen perfectionna sa maîtrise du Byakugan et du Jūken. Six ans de tranquillité avec une personne qu’il considérait comme sa seule famille. Six ans de bonheur brisés en une seule nuit, celle où, pris dans une escarmouche, Hashira choisit de se sacrifier pour protéger la vie de son protégé. Cette nuit où Kyozen pris une vie pour la première fois pour venger celle de son maître. Cette nuit où, de retour au sein du clan seul, l’adolescent se vit apposer le tatouage destiné aux membres de la Bunke et exiler car il n’avait pas pu protéger son maître.
C’est ainsi que Kyozen se tourna vers la seule issue à sa situation, le mercenariat où il obtint le sobriquet « Byakurō » du fait de la couleur de ses cheveux et de la capacités de ses pupilles de la même teinte. Cependant, le jeune homme n’en a pas pour autant oublier le rêve de son maître et il compte bien le réaliser à défaut de ne pas avoir pu le garder en vie…